Klask a ran un anv-lec'h (anv ur gumun, ur gêriadenn, ur straed...)

Dezverkoù all...

Cancale

Rummad

Kumun

Kumun

Kankaven

Departamant

Il-ha-Gwilen
Stumm brezhonek skoueriekaet

Kankaven

Notenn : ar stummoù a weler war ar gartenn-mañ a zeu eus OpenStreetMap, n'int ket bet studiet na skoueriekaet gant an OPAB.

Stummoù kozh
11

1030
Cancavena
1032
Chancavre
1032
Chancavena et...Porpican...Sancti Mewen Judichel
1038
Cancavena
1172
Cancaura
1184
Cancavria
1199
Cancala
1210
Cancavna
1251
Quanquavre
XVIvet Kved
Cancale
1779
Cancalle

Stummoù brezhonek testeniekaet
12

1936
Konkaven
1973
Konkaven
1979
Konkaven
1979
Konkaven
1993
Kankaven
1995
Kankaven
1995
Kankaven
1998
Kankaven
2001
Kankaven
2002
Kankaven
2011
Kankaven
2014
Kankaven

Titouroù all war al lec'hanv

Nom dont l'étymologie ne fait pas unanimité. L'explication généralement formulée est toutefois la suivante : le premier élément serait Kank, issu d'une altération du mot Konk, que l'on retrouve dans sa forme initiale notamment dans le nom des communes Concarneau (29), Le Conquet (29) ou Conquereuil (44). Ces communes sont respectivement Konk-Kerne, Konk-Leon et Konkerel en breton. Noté Concha en latin, ce terme serait peut-être d'origine celtique. Il désigne en tout cas une baie ou une anse, ce que n'est pas pour démentir la situation de Cancale (et de Basse-Cancale), bien au contraire. Ce terme correspond au gaélique Cong qui désigne un goulet ou un détroit. Il a donné le français Conche, de même sens. Le second composant serait Aven, "rivière", terme bien connu et que l'on retrouve dans la rivière du même nom. D'aucuns ont proposé la forme Konkaven en breton pour Cancale, qui n'est pas compatible avec les règles qui président à la normalisation toponymique. Celles-ci n'ont pas pour but de rétablir un stade antérieur supposé de la langue. Outre l'absence d'unanimité sur la présence même du terme Konk, il n'est pas recevable de réintroduire la forme Konk avec un o- dans le nom, car aucune des formes anciennes ne comporte cette voyelle. Dans le cas contraire, à vouloir reconstituer le nom, il aurait fallu de la même manière rétablir le second composant sous la forme -avon, voire -abon, car telles sont certaines des formes originelles d'Aven, également avec un -o (que l'on retrouve dans le nom d'une autre baie non moins célèbre, la Baie des Trépassés, dénommée Bae an Anaon en breton, et dont le sens est donc quasiment identique à celui supposé pour Kankaven).

Ofis publik ar brezhoneg

Rouedadoù sokial